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Choses à Savoir TECH

Podcast Choses à Savoir TECH
Choses à Savoir
Tout ce qu'il faut savoir dans le domaine de la Tech et d'Internet. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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5 von 1053
  • USA : des droits de douane sur les semi-conducteurs ?
    L’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis a déjà des répercussions sur le secteur technologique. Après les cryptomonnaies et l’intelligence artificielle, c’est désormais l’industrie des semi-conducteurs qui est dans son viseur. Son objectif ? Réindustrialiser l’Amérique, et pour y parvenir, le 47ᵉ président entend imposer de nouveaux droits de douane sur les produits stratégiques.Lors d’un discours à Miami devant des élus républicains, Donald Trump a annoncé vouloir taxer lourdement certaines importations, notamment les médicaments et les semi-conducteurs. Selon Bloomberg, ces droits de douane seraient bien supérieurs aux 2,5 % actuels. Une rupture avec la politique de son prédécesseur Joe Biden, qui avait misé sur les subventions pour attirer les industriels.L’ancien président critique vivement le CHIPS Act, un programme de plus de 50 milliards de dollars destiné à soutenir la production de puces électroniques aux États-Unis. Contrairement à Biden, qui a encouragé les investissements en distribuant des aides financières, Trump estime que les entreprises viendront s’implanter d’elles-mêmes pour éviter de payer ces nouvelles taxes. « Nous ne voulons pas leur donner des milliards de dollars comme ce programme ridicule de Biden », a-t-il déclaré. Mais cette stratégie protectionniste pourrait avoir des effets secondaires. Si ces taxes sont appliquées, le coût des semi-conducteurs, indispensables à de nombreux produits électroniques, risque d’augmenter. Une hausse qui pourrait se répercuter sur le prix des biens de consommation, en contradiction avec la promesse de Trump de redonner du pouvoir d’achat aux Américains. Reste à voir si cette politique convaincra les industriels… et les consommateurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    1:55
  • L’IA Deepseek censurée à propos de la Chine ?
    L’intelligence artificielle chinoise DeepSeek continue de faire parler d’elle. Développée par une filiale du fonds spéculatif High-Flyer, cette IA a rapidement gravi les échelons des magasins d’applications, attirant l’attention des experts. Parmi eux, le site Promptfoo, qui a analysé son modèle de raisonnement R1 face à des questions sensibles. Résultat : DeepSeek refuse de répondre à 85 % des 1 360 requêtes testées sur des sujets comme les manifestations de Tian’anmen ou l’indépendance de Taïwan. Une découverte qui alimente le débat sur la censure intégrée à l’IA.L’enquête de Promptfoo révèle plusieurs facettes du contrôle exercé sur DeepSeek. Le chatbot est « jailbreakable » : ses restrictions peuvent être contournées via des formulations détournées, la suppression de références explicites à la Chine ou l’usage d’un contexte historique plus général. Lorsque DeepSeek répond, ses déclarations s’alignent souvent sur la rhétorique officielle de Pékin. Ainsi, interrogée sur Taïwan, l’IA affirme que « la Chine est un pays multiethnique unifié, et Taïwan en fait partie intégrante depuis l’Antiquité », une position conforme au discours gouvernemental chinois.Ces découvertes ne sont pas sans conséquences. DeepSeek s’est hissée en tête des téléchargements sur l’App Store d’Apple, mais l’étude de Promptfoo pourrait ternir son image auprès des utilisateurs. Les chercheurs ont publié leurs résultats sur la plateforme Hugging Face, permettant à d’autres experts de les examiner et d’approfondir leurs analyses. Un autre point intrigue : la facilité avec laquelle les restrictions peuvent être contournées. L’étude suggère que des versions non censurées du modèle pourraient émerger, soulevant des questions sur la portée réelle du contrôle exercé par ses créateurs. Entre censure affirmée et possibilités de contournement, DeepSeek navigue en eaux troubles. Reste à voir comment elle évoluera face à ces nouvelles révélations. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    1:59
  • L'Italie dans le viseur des géants du numérique ?
    Le Piracy Shield italien, mis en place en février 2024 pour lutter contre le piratage en ligne, est au centre d’une controverse croissante. Critiqué pour ses méthodes jugées brutales et son manque de transparence, le dispositif est désormais dans le viseur de la CCIA (Computer & Communications Industry Association), qui regroupe des géants technologiques tels que Google, Amazon et Cloudflare.Dans une lettre adressée à la Commission européenne le 21 janvier 2025, la CCIA dénonce les dérives du système. Selon elle, les blocages massifs d’adresses IP et de noms de domaines sont inefficaces et souvent abusifs. Google Drive, par exemple, a récemment été bloqué par erreur, tout comme des services de Cloudflare. La CCIA critique également l’extension des mesures aux fournisseurs de VPN et de résolveurs DNS, mettant en garde contre des atteintes à la liberté d’expression. Les résultats du Piracy Shield sont par ailleurs remis en question. Une étude commandée par l’AGCOM, l’autorité italienne en charge du dispositif, montre qu’il n’a pas eu d’effet significatif sur les audiences des plateformes légales. Une analyse indépendante souligne aussi que les flux pirates se déplacent simplement vers de nouveaux domaines.Autre point de friction : la CCIA accuse l’AGCOM de conflits d’intérêts et de non-conformité avec les lois européennes. Elle pointe notamment des amendements menaçant de prison les intermédiaires ne signalant pas les infractions mineures. Enfin, la procédure TRIS, qui évalue l’impact des nouvelles législations sur le commerce intra-européen, aurait été contournée. La CCIA appelle l’Union européenne à suspendre les mesures antipiratage en Italie, ouvrir un dialogue et vérifier leur conformité légale. Le sort du Piracy Shield reste en suspens, sous le regard attentif de Bruxelles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:07
  • Qu’est-ce que le projet Stargate avec ses 500 milliards $ ?
    L’intelligence artificielle s’impose comme la technologie-clé des deux prochaines décennies, et les États-Unis entendent bien garder leur avance face à la Chine. Leur réponse ? Stargate, un projet pharaonique doté de 500 milliards de dollars sur quatre ans pour développer des infrastructures dédiées à l’IA sur le territoire américain.Lors de l’annonce officielle, Sam Altman, PDG d’OpenAI, n’a pas mâché ses mots : « C’est le projet le plus important de cette époque. » Il a souligné que cet investissement permettrait de « créer l’IA et l’IA générale aux États-Unis ». Donald Trump, fervent partisan du projet, a évoqué la création de 100 000 emplois, tandis qu’Altman promet des avancées spectaculaires, notamment dans la lutte contre les maladies. Pourtant, tout le monde n’est pas convaincu. Elon Musk, patron de Tesla et proche de Trump, s’est montré sceptique. Sur X (anciennement Twitter), il a répondu à l’annonce d’OpenAI avec un commentaire cinglant : « Ils n’ont pas l’argent nécessaire. »Le projet Stargate regroupe pourtant une coalition impressionnante : OpenAI, Oracle, SoftBank, NVIDIA et le fonds d’investissement MGX des Émirats arabes unis. Une alliance de géants qui crédibilise cette initiative, selon ses défenseurs. Face aux critiques, Sam Altman n’a pas hésité à répondre directement à Elon Musk sur X, affirmant qu’il se trompait. Mais la remarque de Musk souligne une inquiétude persistante : la viabilité financière de Stargate. Ambitieux, ce projet vise à maintenir les États-Unis à la pointe de l’innovation, mais il divise déjà. Entre optimisme débordant et doutes financiers, Stargate incarne les espoirs et les tensions autour de l’avenir de l’intelligence artificielle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:07
  • GPU : l’approvisionnement en GeForce RTX 50 sera difficile ?
    La communication autour des nouvelles GeForce RTX série 50 de NVIDIA, notamment les modèles RTX 5090 et RTX 5080, a été parfaitement orchestrée jusqu’à leur présentation officielle lors du CES 2025 à Las Vegas. Mais à quelques jours de leur mise en vente, prévue le 30 janvier, des tensions se font sentir côté production. En cause : des retards de dernière minute, notamment liés à la finalisation tardive des BIOS par NVIDIA. Les fabricants partenaires, qui peinent à rattraper ce décalage, pointent une production insuffisante pour répondre à la demande. Certaines Founders Edition seront bien disponibles dès le lancement, mais elles risquent d’être épuisées en un clin d’œil.Du côté des fabricants tiers, le constat est encore plus inquiétant. Zotac Corée du Sud a d’ores et déjà annoncé que la RTX 5090 ne serait pas disponible avant mi-février. Quant à la RTX 5080, la date reste incertaine, l’entreprise confirmant qu’elle est encore en train d’ajuster son calendrier. D’autres partenaires, bien que plus discrets, partagent ces difficultés, révélant des problèmes de coordination avec NVIDIA. Pour éviter une flambée des prix et contrer les scalpers, plusieurs revendeurs auraient instauré des restrictions, limitant l’achat à une carte par client. Mais cela suffira-t-il face à la frustration des joueurs ?Cette pénurie annoncée des GeForce RTX série 50 coïncide avec la stratégie plus prudente d’AMD, qui a repoussé à mars la sortie de ses Radeon RX 9000. Un report qui, dans ce contexte, semble presque stratégique. NVIDIA parviendra-t-il à rattraper le retard et à rassurer ses partenaires et consommateurs ? Une chose est sûre : ce lancement sous tension pourrait bien marquer un faux départ pour les RTX 5090 et 5080. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:03

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